Sans trop entrer dans les détails, Dubaï Porta Potti est une tendance virale dégoûtante qui fait référence à un phénomène où des influenceuses et des mannequins Instagram reçoivent des messages d’hommes fortunés de Dubaï qui veulent les payer des milliers de dollars pour déféquer sur leur visage. C’est ce que révèlent différents médias.
Bien que les vidéos, qui ont maintenant été retirées des médias sociaux, n’aient pas été vérifiées, elles ont incité un habitant de Dubaï à se manifester et à exprimer ses doutes quant au contenu explicite. Alors, c’est quoi exactement Dubaï Porta Potti ?
Plan de l'article
Origine
Vous êtes sans doute nombreux à vous demander quel est l’origine de cette pratique scatophile. En effet, Dubaï Porta Potti est un terme que l’on utilise dans l’argot pour désigner une femme qui permet à un milliardaire de faire caca dans sa bouche en échange de fortes sommes d’argent et de cadeau.
Cette pratique existe depuis longtemps mais elle a refait effectivement surface en avril 2022. Un vidéo NSFL et NSFW qui a été diffusé sur Twitter et sur TikTok. Cette vidéo a suscité de nombreuses réactions faisant référence à cette vidéo virale. Il s’agit d’une rumeur qui montre les crimes d’un milliardaire contre une prostituée. Sous le hashtag de DubaiPortaPotty, cette vidéo est partagée et elle a fait le buzz pendant de nombreuses semaines.
Mais il faut croire que depuis 2015, il existe des rumeurs en ligne qui stipule que des mannequins et influenceurs venant des quatre coins du monde accepteraient des relations sexuelles avec milliardaires arabes contre des énormes sommes d’argent. Ces relations sexuelles sont fétichistes et scatophiles, d’où le terme Dubaï Porta Potti.
Entre 2015 et 2019, un blog aurait existé à propos de cette pratique. Il est animé par un prétendu milliardaire de Dubaï qui proposent de l’argent en échange de sexe sale. Il va même publier leurs différentes conversations et un même sur une femme qui empesterait la merde.
Les expériences des femmes ayant subi ce drame
Après cette vidéo virale de Dubaï Porta Potty, de nombreuses femmes ayant été victimes de cette pratique parlent de leurs contrats et partagent leurs expériences à ce propos.
Une vidéo en particulier montre une femme de 26 ans lisant nerveusement un contrat, dans lequel elle consent à être envoyée en avion à Dubaï et à subir un contrôle de MST pour accomplir certains actes sexuels sur son client. Il s’agirait d’un certain Sultan Ali et le contrat stipule qu’elle devra accomplir des actes sexuels à caractère scatophile. La femme dit également qu’elle participera à des rapports sexuels avec le frère mineur d’un client.
Elle ajoute que deux semaines avant son départ, elle recevra 25 000 USD sur un total de 50 000 USD. Le reste est payé une fois le travail terminé. En dehors de cela, il existe également des clips NFSW en ligne qui montre des femmes se faisant déféquer, prétendument dans le rôle de Dubaï Porta Potti.
Selon une information, il existe un site web dédié au recrutement de toilettes humaines pour les riches de Dubaï ; ce qui inclut les élites locales et les riches étrangers.
Qu’est-ce qu’un acte sexuel scatophile ?
Scatophile et aussi appelé coprophilie est une fascination érotique pour les matières fécales, la saleté et la malpropreté en général. Lorsqu’une personne éprouve un certain type de plaisir sexuel associé aux matières fécales, on l’appelle coprophile. Les coprophiles aiment soit regarder les gens déféquer, soit déféquer eux-mêmes sur quelqu’un, soit se faire déféquer dessus, soit étaler des matières fécales (scatolie), et parfois manger des matières fécales (coprophagie).
Chez certains adultes, la coprophilie peut se manifester par des personnes qui trouvent l’acte de défécation agréable et érotique. D’autres individus peuvent apprécier l’incorporation de matières fécales dans une activité sexuelle en couple ou en solo. En raison de l’implication de déchets humains, il existe des dangers associés à l’incorporation de matières fécales dans les rapports sexuels ; ces dangers comprennent le risque d’infections, le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et l’hépatite.
